ici, tout le monde à sa place ! Qu’il s’agisse du liseron (Calystegia septum), des repousses de vivaces, des primevères de collections, ou encore des bulbes, graines et plants échangés.
Parce qu’un jardin, c’est aussi et peut-être surtout ça : les échanges et le partage !
Ce jardin a bel et bien une histoire : celle des personnes qui l’ont créé ! Il est fait de petits morceaux de vies, de souvenirs mais aussi de promesses d’avenir. Il ne ressemble à aucune autre et si l’on prend le temps de le regarder d’un peu plus près, c’est plus de 150 espèces végétales qui s’y côtoient.
Il est indispensable de prendre en compte l’arrosage d’un jardin suspendu dès sa conception !
Il doit être quasi « chirurgical », adapté au besoin de chacun des végétaux installé. N’oublions pas qu’une plante dans un pot se trouve dans un contexte artificiel, très loin de celui offert par la pleine terre. Il faut donc faire en sorte d’apporter l’eau aux bons moments : lorsque la plante produit ses nouvelles feuilles, lorsque l’été vient assécher son environnement, mais aussi l’hiver. Car il est important de ne pas laisser s’assécher la motte de terre que ce soit pour maintenir la plante en vie mais aussi parce que les apports d’eau suivants ruisselleront sans que ceux-ci n’humidifient la terre.
Pour ces mêmes raisons d’optimisation des arrosages, nous vous conseillons – une fois les conditions estivales ayant pointé le bout de leur nez – de réaliser 2 arrosages modérés par jour : le premier tôt le matin et le second au moment où le soleil décline.
En résumé, vous comprendrez qu’un arrosage automatique est aujourd’hui essentiel pour la sérénité de tous !